Archiver pour février 2018
Posté le 23 février 2018 - par paul blanchot
Cet instant qui marque le passage à l’âge adulte
Un groupe d’adolescents dans un camp de vacances… des amis pour la vie, à découvrir la liberté, l’amour et les émotions les plus fortes ! Un récit court étonnant, qui va vous emporter dans une furie incroyable de sensations et de bestialité, un de ces moments qui marque la fin d’un âge d’insouciance.
Les Chasseurs est le quatrième récit tiré du recueil d’épouvante Veillées funèbres, à découvrir pour 0,99 € seulement en eBook :
https://www.amazon.fr/chasseurs-Paul-Blanchot-ebook/dp/B00MAIL6DU
Et le résumé officiel : « Adolescent, les camps de vacances, la colo, c’est super has been. Alors je vous raconte pas quand c’est encadré par des curés. Et j’vous raconte même pas lorsqu’en plus vous vous mettez à dos les moniteurs.
Je préfère pas vous raconter lorsqu’on vous tire de votre lit la nuit avec vos copains pour vous emmener dans les bois ! »
Un récit mené tambour battant sur le passage à l’âge adulte, tiré de l’anthologie d’épouvante « Veillées funèbres ».
Mais… et vous, qu’en avez-vous pensé ? Ouais, je vous amène ça bien non, lol :
« Impossible de ne pas terminer cette nouvelle d’une seule traite. Non seulement l’histoire est très bien écrite, mais en plus on a le coeur qui palpite, l’action est intense. Une belle prouesse de l’auteur qui nous fait rapidement plonger dans son univers puis nous empêche de nous en extraire avant la fin ! Encore une belle oeuvre de Paul Blanchot, je ne suis jamais déçu par ses écrits. »
La narration fluide et claire nous emporte tout de suite dans la fiction. Nous faisons la connaissance de Jacques et de ses camarades du camp de vacances où ils séjournent. Un lieu peu divertissant encadré par des religieux. En quelques échanges, le cadre est planté. Bravo. Il n’est pas facile, je trouve de jongler avec plusieurs personnages. Heureusement, pour ne pas nous perdre, notre point d’encrage réside dans le point de vue de Jacques qui nous raconte une aventure nocturne qui va bouleverser son existence. Le suspense est bien amené. Il y a de l’action. On ne s’ennuie pas. Cette nouvelle m’a fait passer une très bonne soirée !
Allez, la date se rapproche, et bientôt nous pourrons aborder les récits du Livre 2, hâte que cela arrive enfin. Passez un bon week-end ! Moi je serai au Festival des jeux à Cannes, une super expérience, si vous voulez venir y faire un tour. Et semaine prochaine déménagement, y a vraiment des moments où tout arrive en même temps ^_^
Bises à tous…
Posté le 15 février 2018 - par paul blanchot
Nouvelle maison d’édition dans l’imaginaire : Ogmios Editions
Un de mes amis diplômé des métiers de l’édition vient de lancer sa propre structure : Ogmios Editions.
C’est une super aventure qui commence, et je lui souhaite beaucoup de réussite et de succès. N’hésitez pas à aller découvrir sa page, à la partager, et à suivre les prochaines nouveautés ^_^ Chaque lecteur est une pierre qui construit les plus beaux édifices, je dis ça, hein…
Je vous mets le lien de la page Facebook ici : https://www.facebook.com/OgmiosEditions/
Et ci-dessous son message d’accueil à l’occasion du lancement de ce projet :
« Bonjour à tous,
Nous ouvrons aujourd’hui une nouvelle page de notre aventure.
Créée en fin 2017, Ogmios Editions est une jeune maison d’édition indépendante qui porte une littérature de l’imaginaire dynamique, poussant à la réflexion et émouvante.
Qu’il s’agisse de textes de fantasy, de science-fiction ou d’horreur, les récits qui seront proposés ont pour but d’explorer les territoires de l’imaginaire, et de laisser une impression durable sur le lecteur.??
Bienvenue »
Si comme moi vous vous posez des questions sur la figure mythologique que représente OGMIOS, voici ci-dessous quelques explications tirées de Wiki : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ogmios
« Ogmios est un dieu de la mythologie celtique gauloise que l’on retrouve dans la mythologie celtique irlandaise sous le nom d’Ogme. C’est un champion à la grande force physique représentant typique de la fonction guerrière indo-européenne. Ogma est le dieu de l’éloquence. Il terrasse ses ennemis par la parole. »
« Jules César qui écrit « Ogmios » l’assimile à Mars. Mais Lucien de Samosate (IIe siècle) le rapproche d’Hercule : il raconte comment il contemple, étonné, une représentation d’Hercule à la peau de lion ; mais, contrairement au Hercule qu’il connaît, celui-ci a les traits d’un vieillard souriant à la peau noircie, à demi-chauve avec de longs cheveux blancs qui lui retombent dans le dos. Il porte outre la peau de lion, une massue, un arc et un carquois. Il retient une multitude d’hommes, par des chaînes d’or fixées à sa langue et allant aux oreilles de ceux qui le suivent volontiers ».
Impressionnant, n’est-ce pas ?! Bonne journée tout le monde, à bientôt…
Posté le 8 février 2018 - par paul blanchot
Et son nom résonne dans la nuit en inspirant les plus grandes craintes
Elle est Mortis, déesse des Morts, descendue sur Terre pour apporter la vengeance et la destruction… Le jour de son mariage, l’impératrice Ciarane accueille en elle la Mort elle-même, présence révérée de part la crainte qu’elle fait naître, celle dont on loue le culte et dont on se protège tout en même temps, car de sa mansuétude ou de son courroux elle défait les humbles et les plus grands !
Un roman n’est rien sans un personnage fort, qui ne nous laissera en aucune manière indifférent. Le lecteur tremble déjà, craint d’ouvrir les pages, et pourtant… on parle ici de fantasy, de ces lieux où se mêlent le fantastique et l’émerveillement, des lieux différents de ceux qu’on côtoie et en lesquels un peu de magie, toujours, laisse espérer que rien ne sera aussi noir qu’on le pensait.
Oui, Mortis est un roman étonnant, complexe et vaste, emprunt de lumière et de ténèbres, tout ce qu’il faut pour s’attacher, rêver, s’émerveiller et s’inquiéter aussi pour les personnages que l’on va suivre…
Les meilleures chroniques se trouvent : Ici
https://ivrebook.wordpress.com/2016/11/25/mortis-de-paul-blanchot/
« Ciarane, jeune femme de haute naissance destinée à épouser le Soleil incarné, a perdu tout ce qui fait d’elle un être vivant. S’abandonnant à la Mort, elle laisse la déesse prendre pieds sur la Terre et déchaîner son courroux.
Un seul chevalier peut s’opposer à elle, celui auprès de qui elle a tout partagé, et connu le bonheur. Cet homme, tiraillé entre honneur, devoir et amour, va accomplir le plus incroyable des périples en s’immisçant dans l’immense conflit qui ravage la terre et les étendues célestes. La puissance de Mortis attise toutes les convoitises. Doit-on repousser la Mort… la dompter, ou lui arracher ses pouvoirs ? »
Bonne lecture ^_^
Posté le 1 février 2018 - par paul blanchot
D’où vient l’inspiration ?
Bonsoir à tous,
Ecrire est un besoin viscéral et une joie profonde, comme un accomplissement de soi… au plus haut point j’aurais envie de dire ! Les histoires nous trottent dans la tête, ce sont des espaces de réalité, tangibles, concrets où les personnages ont leur propre existence, où les faits s’écoulent et se marient pour créer des moments concrets. Mais quel en est le point de départ ?
Je pense que tout artiste commence par s’approprier les œuvres des grands maîtres, ces dernières nous étonnent et nous stimulent. Alors certains iront de suite à la conclusion : Copieur, voire Plagieur. Ce n’est pas le sujet. En fait, l’artiste est un bâtisseur, il ne va pas sans cesse réinventer la roue, mais au contraire assimiler tout ce qui existe autour de lui, a existé, l’a également marqué et frappé (SK conseille de lire énormément pour pouvoir écrire)… et de là, vont naître des désirs forts de dépasser tout cela, de faire mieux, et d’explorer d’autres endroits, d’autres contrées et situations.
« Se hisser sur des épaules de géants », « Apporter sa pierre à l’édifice », « Viser la perfection », les éléments ne manquent pas pour nous motiver à bien faire. Notre imaginaire fait le reste, il nous nourrit de situations inattendues, de voyages impossibles, de situations dramatiques certes, mais qui serviront à nos héros de piédestal pour aller plus loin, plus haut et plus grand.
Ecrire pour ne pas donner le meilleur, pour ne pas atteindre les sommets, voilà qui serait impossible, inutile et vain. L’imaginaire et le rêve sont des fondements qui nous construisent, qui surtout sont le fondement de notre obstination à vivre et à être heureux. Le plus grand talent de l’homme n’est-il pas son optimisme, sa confiance en lui, en les siens, sachant sans l’ombre d’un doute que le meilleur viendra toujours, même dans les situations les plus difficiles ?!
Chaque élément de notre vie est une inspiration, pour peu qu’on y puise le meilleur, le plus simplement étonnant, et qu’on en partage ces découvertes…
Bonne lecture à tous, bises,